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vendredi 5 septembre 2008

Tumbalalaïka

Tumbalalaika
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Tumbalalaïka est une chanson du folklore juif ashkénaze russe, chantée en yiddish de génération en génération, puis transmise en Israël à son tour.

Translittération [modifier]

Shteyt a bokher, un er trakht (ou shteyt un trakht)
Trakht un trakht a gantse nakht
Vemen tzu nemen un nisht farshemen
Vemen tzu nemen un nisht farshemen

Refrain :
Tumbala, Tumbala, Tumbalalaika
Tumbala, Tumbala, Tumbalalaika
Tumbalalaika, shpil balalaika
Tumbalalaika (ou Shpil balalaika), freylekh zol zayn

Meydl, meydl, kh'vil bay dir fregn,
Vos ken vaksn, vaksn on regn?
Vos ken brenen un nit oyfhern?
Vos ken benken, veynen on trern?

Refrain

Narisher bokher, vos darfstu fregn?
A shteyn ken vaksn, vaksn on regn.
Libe ken brenen un nit oyfhern.
A harts ken benken, veynen on trern.

Refrain

Vos iz hekher fun a hoyz?
Vos iz flinker fun a moyz?
Vos iz tifer fun a kval?
Vos iz biter, biterer vi gal?

Refrain

A koymen iz hekher fun a hoyz.
A kats iz flinker fun a moyz.
Di Toyre iz tifer fun a kval.
Der toyt iz biter, biterer vi gal.

Refrain

Traduction [modifier]

Un jeune garçon se tenait debout, et il pensait
Pensait et pensait toute la nuit,
Que prendre sans avoir honte
Que prendre sans avoir honte

Refrain :
Tumbala, Tumbala, Tumbalalaika
Tumbala, Tumbala, Tumbalalaika
Tumbalalaika, joue la balalaika
Tumbalalaika, soyons heureux !

Jeune fille, jeune fille, je veux te demander
Qu’est-ce qui grandit sans pluie ?
Qu’est-ce qui peut brûler sans fin ?
Qu’est-ce qui peut languir et pleurer sans larme ?

Pauvre garçon, qu’as-tu à demander ?
Une pierre peut grandir, grandir sans pluie,
L’amour peut brûler sans finir
Un cœur peut languir et pleurer sans larme

Qu’est-ce qui est plus haut qu’une maison ?
Qu’est-ce qui est plus rapide qu’une souris ?
Qu’est-ce qui est plus profond qu’un puits ?
Qu’est-ce qui est amer, plus amer que la bile ?

Une cheminée est plus haute qu’une maison,
Un chat est plus rusé qu’une souris
La Torah est plus profonde qu’un puits
La mort est amère, plus amère que la bile

Après un grand succès en Israël, un couplet fut ajouté, en hébreu :

Ma osé osé hekhalutz
Kshehou ba, hou ba lakibboutz
Ba lakibboutz rotsé le'ekhol
Ro'eh bakhoura shokhe'ah hakol

Que fait le pionnier
Quand il arrive au kibboutz ?
Il a faim et veut manger,
Mais quand il voit une fille, il oublie tout !

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